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Aída Bortnik

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Date de naissance:
07.01.1938
Date de décès:
27.04.2013
Noms supplémentaires:
Aída Bortnik, Аида Бортник
Catégories:
Journaliste, Scénariste
Nationalité:
 argentin
Cimetière:
Réglez cimetière

Aída Beatriz Bortnik, née le 7 janvier 1938 à Buenos Aires et décédée le 27 avril 2013 dans la même ville, est une dramaturge et scénariste argentine, révélée à la critique mondiale par le scénario du film L'Histoire officielle.

Biographie

La persécution en héritage (1938-1978) Formation

Fille unique élevée au milieu de ses cousins germains, tous garçons, qui la surnomment « Électre », par un père devenu à dix-sept ans soutien de famille de sa mère et de ses sœurs, toutes veuves, Aída Bortnik est la petite-fille d'un chanteur folklorique juif émigré d'Ukraine. À l'exemple d'un millier d'immigrés qui, accueillis par la Jewish Colonization Association, s'assimilèrent aux gauchos sous l'impulsion du baron de Hirsch, mais non sans conflits avec les « jinete (es) » locaux, il avait gagné la pampa pour fuir les pogroms cosaques.

Elle a dix-sept ans quand un coup d'État militaire exile le président Juan Perón et instaure la dictature de la « Révolution libératrice ». Pendant des études de droit à l’Université de Buenos Aires, elle s'inscrit au Centre de recherche de l'Institut du théâtre qu'abrite l'établissement puis à un séminaire de la Société des Auteurs (es). De 1958 à 1962, à la suite d'un accident intervenu près de la lagune (es) de Chascomús lors d'un voyage, elle doit interrompre ses études. Prisonnière d'un plâtre descendant depuis sous les épaules, elle donne des slogans pour la campagne de contestation Laica o libre (es). Elle s'évade dans l'écriture, retrouvant un plaisir qu'elle partageait enfant avec son père, et reçoit les encouragements déterminants de Julián Delgado (es). Elle obtient le diplôme d'histoire de l'art de la faculté de philosophie et lettres de l’UBS et renonce pour des raisons financières à devenir actrice.

Dramaturge journaliste

En 1967, durant le régime dictatorial de la Révolution argentine, Julián Delgado (es), l'éditeur de Mafalda, lui trouve un poste de secrétaire à l’hebdomadaire Primera Plana (es). Trilingue, elle se voit confier la rubrique Arts et spectacles. Rare femme journaliste, elle y publie jusqu'en 1972 ses critiques, apprenant la rapidité dans l'écriture. Elle en donne également à Siete Días ou Panorama y Semanario et s'introduit peu à peu dans le milieu de la production audiovisuelle. Après une brève année au quotidien La Opinion, elle prend en 1973 la direction de la rubrique Arts et médias du mensuel Cuestionario.

Passionnée de Bakounine et de Camus, elle s'engage dans les suites du Cordobazo pour le théâtre et crée en 1972 sa première pièce, Soldats et petits soldats, dans laquelle cinq rôle sont tenus pas le même acteur. En 1973, Sergio Renán lui commande pour Canal 7 une adaptation d'un roman de Mario Benedetti, La tregua, dont le réalisateur s'empare pour en faire un film, qui sort en 1975 et est sélectionné pour concourir à un Oscar. La scénariste n'a pas même les moyens de se rendre à Hollywood.

L'exil

Inscrite cette même année, où elle perd son père, sur une liste noire la privant de tout travail, elle est un des derniers civils sinon la dernière à voir Haroldo Conti vivant, la veille de sa « disparition (es) ». Comme le font quelques trente mil de ses compatriotes, elle fuit le « golpe » du 24 mars 1976 conduit par le général Videla et se fait embarquée en août, avec mil quatre cent dollars en poche, sur un cargo en partance pour Le Havre, où vient l'accueillir une amie d'enfance, le peintre Delia Cugat (es).

Après une nuit à Paris puis un bref séjour à Louvain, où l'héberge un collègue de Primera Plana (es) doctorant en sociologie, elle arrive à Madrid. Entourés d'amis réfugiés politiques, tels Sergio De Cecco (es), Haydée Padilla (es), Federico Luppi (es), subissant l'ostracisme espagnol, elle y mène pendant presque trois années la vie précaire de l'exil, guidée et soutenue par Juan Carlos Frugone, le codirecteur du Festival de Valladolid. Dans le « désert culturel » madrilène, elle s'efforce avec ce dernier de réunir des cinéastes, tels Fernando Fernán Gómez, Mario Camus, tout en travaillant comme traductrice.

La parole résistante (1979-1982)

« […] chacun est tenu responsable de toute liberté, de la solidarité envers chacun, de la dignité de chacun, de la justice pour tous et de tout l'amour du monde. »

— Le chœur des fils dans la pièce créée en 1981 Cher papa.

Le 11 février 1979, elle atterrit à Buenos Aires, appelée par Alejandro Doria (es) pour réaliser L'Île (es). Son scénario est une critique de l'enfermement et de la folie de la société argentine dépeinte en hôpital psychiatrique. Sa métaphore d'un camp d'internement réussit à berner la censure. Elle trouve à travailler comme éditorialiste-novelliste pour le journal satirique Humor (es), instrument de résistance à la novlangue de la dictature, tout en enseignant dans une école de cinématographie, l'Escuela Grupo Profesionales de Cine. En 1981, elle abandonne celle ci pour l'École supérieure des arts cinématographique.

C'est l'année où, en compagnie de vingt auteurs engagés contre le « Processus de Réorganisation Nationale », elle participe à la fondation du Teatro Abierto (es), scène expérimentale et lieu de résistance à la censure soutenu par Sábato, Pérez Esquivel et Borges. Les personnages de sa pièce Cher papa, allégorie du machisme du régime de Juan Perón, y dénoncent l'attentisme des argentins face à la dictature. Pour obtenir un effet de mobilisation, elle réinvente, d'une manière subversive à l'opposé de la technique de la distanciation, le procédé d'identification propre au théâtre de la quotidienneté portègne et à la tradition costumbriste. L'ensemble de la programmation, commencée le mardi 28 juillet, est interrompue le jeudi 6 août à cause d'un incendie provoqué à cinq heures du matin par une bombe mais reprend dès le 17 dans un théâtre deux fois plus grand avec deux fois plus de soutien du public.

Simultanément, Aída Bortnik anime avec Fernando Castets (es) l'Atelier des Auteurs de Théâtre et de Cinématographie et reste occasionnellement sollicitée par la presse étrangère, diverses universités, des revues spécialisées et même des anthologies. La suite télévisée Ruggero lui vaut un harcèlement téléphonique quotidien.

Catharsis (1983-1986)

Vivre aux bords de ce marais d'impunité, qui submerge, qui fait des vagues et balaie la vie, qui engloutit tout édifice et la jeunesse en pleine floraison, c'est vivre dans le déshonneur.

 

C'est vivre comme si la vie n'en valait pas la peine. Et elle en vaut la peine.

 

Elle la vaut si cette peine est reconnue, est hurlée, si en son nom est revendiquée et faite justice.

 

Divisés, les hommes sont plus faibles que les éléphants, plus démunis que les entreprises. Ensemble et en marche, ils renversent les cités. Ou les construisent.

Poème d'Aida Bortnik.

En 1983, la Guerre sale terminée, elle cesse d'enseigner pour se consacrer pleinement à la création. Elle continue de publier des textes courts, dont deux nouvelles, Jules Montagne d'Or, qui est une réponse optimiste à Stefan Zweig, et Dix-huit ans, dans laquelle elle dénonce le sacrifice rituel de la nouvelle génération qu'est la guerre des Malouines, puis abandonne dès l'année suivante sa collaboration à Humor (es). Son travail de scénariste la conduit à Madrid de nouveau, à la rencontre de producteurs espagnols, à Londres, sur les traces des réalisateurs du Cinéma libre, à Rome, sur celles de Roberto Rossellini, qui lui est un modèle.

La sortie en 1985 de L'Histoire officielle, dont elle a écrit le scénario à la demande de Luis Puenzo durant les derniers mois de la dictature, connait, un an avant le témoignage de La nuit des crayons (es), un retentissement international qui confronte, dans le miroir du cas d'un « enfant disparu », l'opinion publique argentine à la complicité de son silence. En 1986, l'Académie du cinéma italien la sélectionne avec Luis Puenzo pour concourir au Donatello du meilleur scénario étranger et l'AMPAS au Prix du meilleur scénario original. Réalisé dans une Argentine culturellement isolée, sans la créativité du cinématographe américain ou européen, le film est reçu par des encouragements bienveillants voire condescendants. Pour prix de consolation, Hollywood élit la scénariste membre permanent de son Académie.

Dans Pauvre papillon, qui sort presqu'au même moment, elle et le réalisateur Raul de la Torre explicitent, à travers des scènes inspirées de son autobiographie et illustrées de documents d'archives, la collusion originelle du régime militaire péroniste avec le régime nazi. Elle participe au premier congrès consacré en Argentine au Juif dans la littérature latino américaine, adhère à l'Association Internationale des Écrivains Juifs de Langue Espagnole et Portugaise qui se crée alors et contribue à la revue de celle ci, Noaj.

Écriture et culture de masse (1987-2013)

Désormais célébre, elle continue d'animer des ateliers d'écriture, rejointe dans cette activité par Juan José Campanella, qui fut son élève en 1979, et écrit pour la télévision argentine ou espagnole aussi bien des téléfilms que des feuilletons ou des mini-séries sans se départir d'un style mélodramatique se revendiquant de la critique sociale de Tchekhov. En 1989, elle tient son propre rôle dans une création donnée au Teatro Abierto, Pays fermé, et le film Old Gringo de Luis Puenzo, pour lequel elle a adapté un roman de Carlos Fuentes sur la Révolution mexicaine évoquant le rôle ambigu de la démocratie américaine, est présenté en avant première du festival de Cannes.

L'année suivante, elle est nommée aux côtés d'Alain Robbe-Grillet et Jean-Claude Carrière assesseur à l'Université du Ciné (es) de Buenos Aires. En 1993, le Festival du film de Sundance en fait un invité permanent de son laboratoire d'écriture cinématographique. Tango féroce, la légende de Tanguito, fiction dont elle a écrit le scénario à partir de notes biographiques de Marcelo Piñeyro et Juan Carlos Muñiz, est vu rien qu'en Argentine par un million sept cent mil spectateurs. À travers la figure d'un Tanguito réinventé, elle y dénonce le capitalisme sauvage sur le thème « tout ne s'achète pas, tout ne se vend pas ».

Les succès s'enchaînent, Caballos Salvajes en 1995, Cenizas del paraíso en 1997. Toutefois, elle perd de sept voix l'élection à la vice présidence de Société des Auteurs (es) sur un programme de défense du service public face à une équipe à laquelle il est reproché, sans qu'il n'y ait eu de condamnation, de s'être compromise avec la dictature et d'être impliquée dans une vaste affaire d'« évaporation » des fonds liés aux droits d'auteurs. En 1998, c'est au tour de la Faculté d'Architecture, Dessin et Urbanisme de l’Université de Buenos Aires de lui confier un enseignement, puis en 1999 à celui de l'Université du Ciné (es). En 2001, la liste qu'elle soutient aux élections de la Société des Auteurs (es) est de nouveau battue.

En mars 2009, accompagnée au Festival de Guadalajara par son mari, Manuel Ferreira, elle remet l'adaptation du Journal d'un enlèvement à Gabriel García Márquez, qui l'en avait chargée. Elle meurt d'un cancer quatre ans plus tard à l'âge de soixante quinze ans alors qu'elle est devenue une figure jouissant d'une reconnaissance nationale pour avoir maintenue, au-delà de son engagement, une exigence littéraire dans l'art cinématographique et télévisuel. Elle est enterrée dans la localité d'Acevedo.

Œuvre

Hormis la plupart des articles de presse. Œuvre cinématographique Scénarios pour Sergio Renán
  • La tregua, d'après Mario Benedetti, 1974,
  • Crecer de golpe, d'après Alrededor de la jaula d'Haroldo Conti, 1976,
  • La soledad era esto, 2001.

 

Scénarios pour Luis Puenzo
  • L'Histoire officielle, 1985,
  • Old Gringo, 1989.

 

Scénarios pour Marcelo Piñeyro
  • Tango féroce, la legende de Tanguito, 1993,
  • Caballos salvajes, 1995,
  • Cenizas del paraiso, 1997.

 

Autres scénarios de films
  • pour Juan José Stagnaro, Una mujer, 1974,
  • pour Alejandro Doria, La Isla, 1979,
  • pour David Lipszyc, Volver, 1982,
  • pour Raul de la Torre, Pobre mariposa, 1986,
  • Vergüenza,
  • pour Raul Rodríguez Peila, 375 días. Azucena Villaflor, 2008.
  • pour Julia Solomonoff, Las grietas de Jara, d'après Las viudas de los jueves de Claudia Piñeiro, non réalisé.
  • pour Pablo Pedro Ibarra, Noticia de un secuestro d'après Gabriel García Márquez, en projet.
  • Avec Pablo Yotich, pour Juan Palomino, El Abismo… todavia estamos, 2010.

 

Scénarios pour la télévision
  • La tregua, série Las Grandes Novelas, Canal 7, 1973,
  • La Dama de las camelias, 1973,
  • Sebastián y su amigo el artista, 1975,
  • Cavar un foso d'après A. Bioy Casares, 1977,
  • Sonata de celos d'après L. Tolstoï, 1980,
  • Avec C. Somigliana, P. Durán & R. Cossa, Hombres en pugna, Canal Volver (es), décembre 1980,
  • El jardín de los cerezos d'après A. Tchékov, 1981,
  • Los gringos,
  • Ruggero, 1983,
  • Eramos tan jóvenes, 1986,
  • Avec J.J. Campanella, J.P. Domenech & A. Martinez, deux premiers épisodes de Vientos de agua, Canal 13, Buenos Aires, 2006.
  • Las viudas de Beto.
  • Las lecciones de abuelita.

 

Œuvre dramatique
  • La tregua, d'après Mario Benedetti, œuvre de jeunesse inédite.
  • Soldados y soldaditos, tournée en Argentine 1972-1975.
  • Tres por Chéjov, mise en scène Hugo Urquijo, 1974.
  • Dale nomás, monologues, poèmes et chansons, 1975.
  • La Isla,
in Capitulo - Biblioteca argentina fundamental nº 96, Centro Editor de América Latina, Buenos Aires, 1981.
  • Papa Querido,
in Teatro Abierto 1981 - 21 estrenos argentinos, t. II, Ed. du Teatro Abierto, 1981, réed. in Teatro Breve Contemporáneo Argentino, Éditions Colihue, 1982, réed. in M.A. Giella, Teatro Abierto 1981, vol.II, Ediciones Corregidor, Buenos Aires, 1992.
  • Domesticados, représentée aux saisons 1981 et 1982,
Argentores (es) éd., 1988, ISBN 950-99100-1-5.
  • De a uno, représentée à la saison 1983,
Hispamérica éd., 1986.
  • Primaveras, représentée aux saisons 1984 et 1985,
vol. IX, Ed. du Théâtre Municipal General San Martín, Buenos Aires, 1985, réed. in Teatro Argentino Contemporaneo - Antología, Fondo de Cultura Económica, 1992.
  • La Historia Oficial - libro cinematográfico, Editorial La Urraca, Buenos Aires, 1985, ISBN 950-9265-03-9,
ed. bilingue L'Histoire officielle, L´Avant Scène Cinéma, 1986.
  • Por La Vida, 1989.
  • Zscherezade,
  • Hombres.

 

Œuvre narrative Nouvelles
  • Julio Montaña Dorada, in Humor (es), La Urraca, Buenos Aires, 1983.
  • Dieciocho años, in Humor (es), La Urraca, Buenos Aires, 1983.

 

Histoires courtes Liste non exhaustive
  • El corazón de Celeste, in Humor (es) no 84, La Urraca, Buenos Aires, juin 1982.
  • Hagamos una lista, in Humor (es), La Urraca, Buenos Aires, .
  • Un cuentito, in Humor (es), La Urraca, Buenos Aires, .
  • La primera vez in Humor (es), La Urraca, Buenos Aires, .
  • Juguemos en el bosque in Humor (es), La Urraca, Buenos Aires, .
  • Los Amigos, in Humor (es) no 513 à 519, La Urraca, Buenos Aires, 1997.
  • Tomás, el ortodoxo.

 

Autres écrits
  • Avec A. Goldstein, préf. A. Bortnik, Gente En Su Casa - People At Home, La Marca Editora, 2011, 92 photo., 132 pp., ISBN 9508892005 & 9789508892003.
Œuvre critique Liste non exhaustive
  • Entretien avec M. Puig, Renace el folletín, in Señoras y señores, I, 3, p. 6-12, Editorial Primera Plana (es), Buenos Aires, octobre 1969.
  • Contra Neruda, in Cuestionario, Buenos Aires, 1974.
  • Lo judío en mi obra, in R. Feierstein & S.A. Sadow, Recreando la Cultura Judeoargentina: 1894-2001 en el umbral del segundo siglo, p. 323 & sq., Milá, Buenos Aires, 2002, ISBN 987-9491-09-2.

Prix

  • 1975 - Premier prix de l'ACCA pour La tregua (le film est le premier de langue espagnole à être sélectionné pour un Oscar du meilleur film en langue étrangère).
  • 1979 - Premier prix de la Critique espagnole.
  • 1979 - Prix de l'Audience de la meilleure œuvre nationale pour la télévision.
  • 1980 - Prix de l'édition Salimos du meilleur scénariste national pour les années 1978 à 1980.
  • 1980 - Prix National Argentores (es) du meilleur scénario original pour La Isla, film qui reçoit à Montréal le Prix œcuménique et à Huelva (es) le Prix du public, le Prix spécial de la critique et le Prix spécial du jury.
  • 1981 - Prix de l'Audience de la meilleure œuvre nationale pour la télévision.
  • 1984 - Accessit du Prix Konex, catégorie scénarios.
  • 1985 - Prix œcuménique du meilleur scénario original des Christophes pour L'Histoire officielle, élu la même année meilleur film étranger par l'Association of Latin American Critics de New York.
  • 1986 - Condor de la Plata (es) du meilleur scénario original, premier prix de l'ACCA, prix spécial Argentores (es) et premier prix du scénario original du huitième Festival de La Havane pour L'Histoire officielle, lui-même Oscar du meilleur film en langue étrangère gratifié à Cannes du Prix œcuménique pour « l'approche sociale, la solidarité et le courage civique ».
  • 1987 - Prix du meilleur scénario original au quatrième festival du film de Bogota et prix de l'ASECAN pour Pobre Mariposa, film sélectionné à Cannes et couronné la même année d'un Colomb d'or (es).
  • 1988 ? - Premier Prix National Argentores (es) pour la pièce Les Domesticados.
  • 1994 - Prix Konex d'argent, catégorie scénarios.
  • 1996 - Prix National Argentores (es) du meilleur scénario original et prix de l'ASECAN pour Caballos salvajes, film qui reçoit le prix spécial du jury du Festival du film de Sundance et un Colomb d'or (es).
  • 1997 - Prix National Argentores (es) du meilleur scénario original et premier prix du scénario original du Festival de La Havane pour Cenizas del paraiso, film qui reçoit la même année le Prix Goya dans la catégorie meilleur film étranger.
  • 2007 - Martín Fierro du meilleur scénariste.

Distinctions

  • Depuis 1986 - Membre permanent de l'Académie des Oscars.
  • Depuis 1987 - Membre actif du Syndicat des scénaristes américains.
  • 1987 - Membre invité de la Fondtation Danielle Mitterrand-France Libertés.
  • 1987 - Prix du scénariste Ennio Flaiano pour « l'ensemble de son activité cinématographique au titre d'écrivain ».
  • 1996 - Grand Prix d'Honneur de la Société des auteurs argentins (es) pour l'ensemble de sa carrière cinématographique.
  • 1999 - Grand Prix d'Honneur du Fonds national pour les arts (es) pour l'ensemble de sa carrière.
  • 2006 - Nomination « Personnalité remarquable du monde culturel » par le Parlement de la Cité de Buenos Aires.
  • 2008 - Convocation entre « Les Justes qui ont combattu la dictature et lutté pour la démocratie ».
  • 2009 - Prix de la Démocratie reconnaissante.
  • 2010 - Médaille du bicentenaire de la Cité de Buenos Aires pour « ses contributions à la société de son temps ».
  • 2013 - Jury des Prix Nationaux, catégorie Littérature cinématographique.

Sources: wikipedia.org

Pas de lieux

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        NomLienDate de naissanceDate de décèsDescription
        1Franco  ZeffirelliFranco ZeffirelliCollègue12.02.192315.06.2019
        2Ermanno  OlmiErmanno OlmiFamilier24.07.193107.05.2018

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