Jean Marais
- Date de naissance:
- 11.12.1913
- Date de décès:
- 08.11.1998
- Nom de jeune fille de la personne de:
- Jean Alfred Villain-Marais
- Noms supplémentaires:
- Jean Marais, Жан Марэ, Žans Marē, Jean-Alfred Villain-Marais, Жан Альфре́д Вилле́н-Маре́, Jean Alfred Villain-Marais;
- Catégories:
- Acteur, Artiste, Cascadeur, Sculpteur, Écrivain
- Nationalité:
- français
- Cimetière:
- Cimetiere de Vallauris (Vallauris)
Jean Alfred Villain-Marais, dit Jean Marais, est un acteur français, né le 11 décembre 1913 à Cherbourg, mort le 8 novembre 1998 à Cannes ; il est également metteur en scène, écrivain, peintre, sculpteur, potier et cascadeur. En 1993, Jean Marais reçoit un César d'honneur.
Biographie
EnfanceQuand Jean Marais a quatre ans, sa mère alsacienne décide de partir pour Paris avec ses deux fils. Ils vivent jusque-là à Cherbourg avec son frère et son père vétérinaire dont sa mère a décidé de se séparer. Elle est souvent absente. Le petit Jean lui écrit des lettres mais c'est sa tante qui inscrit l'adresse sur l'enveloppe. Il comprend plus tard que c'est parce que sa mère, kleptomane, effectue des séjours en prison. Il est élève au lycée Condorcet. Jean Marais ne reverra son père que près de quarante ans plus tard, sans être sûr qu'il soit bien lui.
Il a un fils adoptif, Serge. Dans l'émission L'Invité du jeudi présentée par Alain Cances diffusée le 26 avril 1979 sur Antenne 2, Jean Marais conteste cette information et annonce qu'il a reconnu cet enfant.
DébutsIl commence comme figurant en 1933 dans les films de Marcel L'Herbier qui ne lui donnait jamais sa chance. En 1937, il échoue au concours d'entrée au Conservatoire et étudie chez Charles Dullin, au théâtre de l'Atelier. Il y découvre les pièces classiques, où il tient des rôles de figuration qui lui permettent de financer ses cours.
Jean CocteauSa rencontre avec Jean Cocteau en 1937, lors d'une audition pour la mise en scène de sa réécriture d'Œdipe Roi, marque le véritable lancement de sa carrière. Le cinéaste et dramaturge tombe amoureux du jeune acteur, qui est son amant, puis son ami jusqu'à sa mort en 1963. Cocteau donne à Jean Marais un rôle muet dans Œdipe Roi : Jean Marais y joue le rôle du Chœur. Dans cette pièce Marais apparaît vêtu de bandelettes, costume créé par Coco Chanel, amie de Cocteau. Son rôle est muet car Marais ne maîtrise pas encore assez sa voix pour le théâtre, la cigarette l'aide à la transformer. Cocteau lui écrit rapidement une pièce sur mesure : Les Parents terribles (1938), qui lui donne la reconnaissance de la profession.
1942 le voit aux côtés de Viviane Romance dans l'adaptation par Christian-Jaque de Carmen.
En 1943, il joue un Tristan moderne dans L'Éternel Retour de Jean Delannoy. Il a une vive altercation avec le critique artistique Alain Laubreaux, du journal collaborationniste Je suis partout, qui l'a qualifié de "L'homme au Cocteau entre les dents" (cette altercation a d'ailleurs été reprise dans Le Dernier Métro de François Truffaut) et affirme qu'il ne doit son statut qu'aux hautes relations de Cocteau. Il devient l'idole de sa génération.
En 1944, il monte Renaud et Armide, mais la pièce est victime d'une cabale, semble-t-il menée par les collaborationnistes, et s'arrête très vite. Marais gagne encore en popularité et devient un symbole de résistance à l'occupant.
Après la libération de Paris, en août 1944, Jean Marais s'engage dans l'armée française et rejoint la 2e DB du général Leclerc.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, Cocteau écrit pour lui La Belle et la Bête, un film très difficile à tourner, et auquel personne ne croit. Marais entre alors dans la légende. En 1946, il joue dans la pièce L'Aigle à deux têtes de Cocteau, puis en 1949, dans l'un des plus célèbres films de Jean Cocteau, Orphée.
À la fin des années 1940, il entre à la Comédie-Française. Il y est à la fois comédien, metteur en scène et décorateur. C'est la première fois qu'une telle fonction est donnée à un aussi jeune comédien (il a moins de 40 ans). Marais quitte la Comédie Française après une altercation avec le directeur.
Il tourne auprès des plus grandes vedettes féminines : Les Chouans avec Madeleine Robinson, Ruy Blas avec Danielle Darrieux, Aux yeux du souvenir où il retrouva Jean Delannoy avec Michèle Morgan.
Changement de registreDans les années 1950, il s'éloigne de Cocteau.
Il tourne pour de grands cinéastes dont Luchino Visconti, Jean Renoir, Sacha Guitry.
1954 est l'année de son plus grand succès en salle avec Le Comte de Monte Cristo seconde adaptation par Robert Vernay du roman d'Alexandre Dumas.
Il partage en 1956 avec Ingrid Bergman la vedette d'Elena et les Hommes de Jean Renoir.
Luchino Visconti l'engage en 1957 pour Nuits blanches.
En 1959, il tourne une dernière fois avec Jean Cocteau, Le Testament d'Orphée dans lequel il joue Œdipe. Marais quitte Cocteau pour un danseur. Jean Cocteau décède en 1963.
En 1959, André Hunebelle lui propose de tourner Le Bossu avec Bourvil. C'est le début d'une nouvelle carrière. Il est déjà populaire, ces films moins intellectuels que les précédents lui amenent un nouveau public. Il tourne Le Capitan toujours avec Bourvil et André Hunebelle puis une série de films de cape et d'épée comme Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit en 1961 ou encore Le Masque de Fer d'Henri Decoin en 1962.
Il connaît un nouveau succès avec la série des Fantômas (1964-1966) dans lesquels il joue le double rôle du journaliste Fandor et de Fantômas. Il y effectue ses propres cascades. Mais bien que le public afflue dans les salles et que le nombre d'entrées s'envole, Marais estime que ces films n'ont pas le prestige des précédents. De plus, après avoir dû partager la vedette avec Bourvil, le voilà désormais presque relégué au rang de premier second rôle par Louis de Funès, qui interprète le rôle du commissaire Juve. Il décide alors que le cinéma est fini pour lui, il se retire au théâtre.
En 1970, Jacques Demy lui offre son dernier grand rôle dans Peau d'âne dans lequel il donne la réplique à Catherine Deneuve.
Fin de carrièreEn 1973, il retrouve le succès pour sa dernière collaboration avec André Hunebelle dans Joseph Balsamo. En tout, il tourne huit fois sous la direction d'André Hunebelle.
Jean Marais se retire dans les Alpes-Maritimes, d'abord à Cabris où il passe une quinzaine d'années (un boulevard de la commune près de la maison qu'il habita porte son nom) puis à Vallauris où il pratique la poterie, la sculpture et le théâtre. Il y ouvre un magasin et même une galerie d'art grâce à un couple d'amis potiers.
Vers 1980, il monte le spectacle Cocteau Marais et devient le gardien de l'œuvre de Cocteau, sans en avoir légalement les droits.
En 1988, il enregistre la chanson On n'oublie rien, de François Valéry et Gilbert Sinoué, chez Franceval.
Au cours des années 1980, il joue au théâtre (Don Diègue dans Le Cid, Le Roi Lear, Les Monstres sacrés) et quelques rôles au cinéma (dans Parking de Jacques Demy et dans Les Misérables du XXe siècle de Claude Lelouch). Il joue son dernier rôle au cinéma dans Beauté volée de Bernardo Bertolucci en 1995, et au théâtre en 1997, celui du berger Balthazar dans L'Arlésienne, aux Folies Bergère.
Dans une interview donnée à Bernard Pivot, Jean Marais précise n'avoir jamais fait de figuration dans Drôle de drame et avoir été remplacé à la dernière minute.
Il écrit quelques livres dont ses Mémoires, L'Inconcevable Jean Cocteau, des contes et des poèmes.
Comme sculpteur, il réalise, entre autres, une évocation du Passe-murailles qui est installée à Montmartre devant la maison où habitait Marcel Aymé, auteur de la nouvelle éponyme.
Jean Marais meurt à Cannes le 8 novembre 1998. Il est enterré dans le petit cimetière de Vallauris, la ville des potiers, où il a passé les dernières années de sa vie.
Postérité
À Montmartre, près de la basilique du Sacré-Cœur, une place Jean-Marais est inaugurée le 26 avril 2008. Une exposition « L'éternel retour » lui est consacrée à Montmartre pour les dix ans de sa mort.
Rue Norvins à Montmartre se trouve une sculpture de Jean Marais en hommage au Passe-muraille de Marcel Aymé.
Jean Marais reste l'un des rares acteurs à n'avoir jamais caché son homosexualité. Dans ses films, il est aussi l'un des rares, avec Jean-Paul Belmondo, à avoir presque toujours exécuté lui-même ses propres cascades.
Filmographie complète
1933 - 1937- 1933 : Dans les rues de Victor Trivas
- 1933 : Étienne de Jean Tarride
- 1933 : L'Épervier de Marcel L'Herbier
- 1934 : L'Aventurier de Marcel L'Herbier – Un jeune ouvrier
- 1934 : Le Scandale de Marcel L'Herbier – Le liftier
- 1934 : Le Bonheur de Marcel L'Herbier – Un journaliste
- 1936 : Les Hommes nouveaux de Marcel L'Herbier – Le secrétaire
- 1936 : Nuits de feu de Marcel L'Herbier
- 1937 : Abus de confiance d'Henri Decoin
- 1937 : Remontons les Champs-Élysées film de Sacha Guitry – L'abbé-précepteur
- 1937 : Le Patriote de Maurice Tourneur
- 1941 : Le pavillon brûle de Jacques de Baroncelli – Daniel
- 1942 : Carmen de Christian-Jaque – Don José, brigadier des dragons
- 1942 : Le Lit à colonnes de Roland Tual – Rémi Bonvent, compositeur
- 1943 : L'Éternel Retour de Jean Delannoy scénario et dialogues de Jean Cocteau – Patrice
- 1943 : Voyage sans espoir de Christian-Jaque – Alain Ginestier, le jeune fortuné
- 1946 : La Belle et la Bête de Jean Cocteau – Avenant, la bête et le prince
- 1947 : Les Chouans d'Henri Calef d'après Honoré de Balzac – Le marquis de Montauran
- 1947 : L'Aigle à deux têtes de Jean Cocteau – Stanislas
- 1948 : Ruy Blas de Pierre Billon – Ruy Blas et Don César de Bazan
- 1948 : Aux yeux du souvenir de Jean Delannoy – Jacques Forestier, pilote de ligne
- 1948 : Le Secret de Mayerling de Jean Delannoy – L'archiduc Rodolphe
- 1948 : Les Parents terribles de Jean Cocteau – Michel, amoureux de Madeleine
- 1948 : Ceux du Tchad ou Leclerc court métrage de Georges Régnier et Marcel Achard – Un jeune lieutenant
- 1949 : Orphée de Jean Cocteau – Orphée
- 1949 : Vedettes en liberté court métrage de Jean Guillon – Son propre rôle
- 1950 : Coriolan moyen métrage, inédit de Jean Cocteau
- 1950 : Le Château de verre de René Clément – René Marsay, l'amant d'Evelyne
- 1950 : L'amante di una notte version italienne du film précédent de René Clément – René Marsay
- 1950 : Les miracles n'ont lieu qu'une fois d'Yves Allégret – Jérôme
- 1951 : Nez de cuir d'Yves Allégret – Roger de Tainchebraye
- 1951 : L'Amour, Madame de Gilles Grangier – Son propre rôle
- 1951 : Le rendez-vous de Cannes court métrage de Eddie Pétrossian – Son propre rôle
- 1952 : La Maison du silence "La voce del silenzio" de Georg Wilhelm Pabst
- 1952 : L'Appel du destin de Georges Lacombe – Lorenzo Lombardi, père de Roberto
- 1953 : Dortoir des grandes d'Henri Decoin – L'inspecteur Désiré Marco
- 1953 : La Conciencia acusa
- 1953 : Julietta de Marc Allégret – André Landrecourt, avocat
- 1953 : Les Amants de minuit de Roger Richebé – Marcel Dulac, faussaire
- 1953 : Etoiles au soleil court métrage de Jacques Guillon – Son propre rôle
- 1953 : Boum sur Paris de Maurice de Canonge – J.Marais est une vedette invitée
- 1953 : Le Guérisseur d'Yves Ciampi – Pierre Lachaux-Laurent, ancien médecin
- 1954 : Le Comte de Monte Cristo première époque : La trahison et seconde époque : La vengeance, de Robert Vernay – Edmond Dantes
- 1954 : Si Versailles m'était conté de Sacha Guitry – Louis XV
- 1955 : Futures Vedettes de Marc Allégret – Eric Walter, ténor et professeur
- 1955 : Goubbiah mon amour de Robert Darène – Goubbiah, pêcheur d'éponges
- 1955 : Napoléon de Sacha Guitry – Le comte de Montholon
- 1955 : Toute la ville accuse de Claude Boissol – François Nérac, écrivain
- 1956 : Elena et les Hommes de Jean Renoir – Le général François Rollan
- 1956 : Si Paris nous était conté de Sacha Guitry – François Ier
- 1957 : Amour de poche de Pierre Kast – Le professeur Jérôme Nordmann
- 1957 : La Tour, prends garde ! de Georges Lampin – Henri La Tour
- 1957 : La Vie à deux de Clément Duhour – Teddy Brooks, l'illusionniste
- 1957 : Nuits blanches (Le notti bianche) de Luchino Visconti – Tenant
- 1957 : S.O.S. Noronha de Georges Rouquier – Frédéric Coulibaud
- 1957 : Typhon sur Nagasaki d’Yves Ciampi – Pierre Marsac, ingénieur en mission
- 1958 : Chaque jour a son secret de Claude Boissol – Xavier Lezcano, ethnologue
- 1959 : Le Testament d'Orphée de Jean Cocteau – Œdipe
- 1960 : Austerlitz d’Abel Gance – Carnot
- 1960 : Le Bossu d’André Hunebelle – Le chevalier Henri de Lagardère alias: Le Bossu
- 1960 : Le Capitan d’André Hunebelle – François de Capestan dit: Le Capitan
- 1961 : La Princesse de Clèves de Jean Delannoy – Le Prince de Clèves
- 1961 : Le Capitaine Fracasse de Pierre Gaspard-Huit – Le baron de Sigognac dit: Le capitaine Fracasse
- 1961 : Le Miracle des loups d’André Hunebelle – Robert de Neuville
- 1961 : L'Enlèvement des Sabines de Richard Pottier – Le dieu Mars
- 1961 : Napoléon II l'Aiglon de Claude Boissol – Montholon
- 1962 : Ponce Pilate "Ponzio Pilato" de Gian Paolo Callegari et Irving Rapper – Ponce Pilate
- 1962 : Le Masque de fer d’Henri Decoin – D'Artagnan
- 1962 : Les Mystères de Paris d’André Hunebelle – Rodolphe de Sombreuil
- 1963 : L'Honorable Stanislas, agent secret de Jean-Charles Dudrumet – Stanislas, directeur d'une agence de publicité
- 1963 : Cherchez l'idole de Michel Boisrond – Lui-même, en spectateur à l'Olympia
- 1964 : Fantômas d’André Hunebelle – Fantômas et Fandor, le journaliste
- 1964 : Patate de Robert Thomas – Noël Carradine
- 1965 : Le Gentleman de Cocody de Christian-Jaque – Jean-Luc Hervé de La Pommeraye
- 1965 : Thomas l'imposteur de Georges Franju – J. Marais assure le commentaire
- 1965 : Fantômas se déchaîne d’André Hunebelle – Fantômas, Fandor le journaliste et le professeur Lefèvre
- 1965 : Le Saint prend l'affût de Christian Jaque – Simon Templar, dit le Saint
- 1965 : Pleins feux sur Stanislas de Jean-Charles Dudrumet – Stanislas Dubois, agent secret
- 1965 : Train d'enfer de Gilles Grangier – Antoine Fabre un as du S.R Français
- 1966 : Sept hommes et une garce de Bernard Borderie – Dorgeval
- 1967 : Fantômas contre Scotland Yard d’André Hunebelle – Fantômas et Fandor; le journaliste
- 1968 : Le Paria "Jaque Mate" de Claude Carliez – Manu
- 1969 : La Provocation de André Charpak – Christian, professeur d'archéologie
- 1969 : Le Jouet criminel de Adolfo Arrieta
- 1970 : Peau d’Âne de Jacques Demy – Le premier roi
- 1976 : Jean Marais, artisan du rêve, documentaire, court métrage de Gérard Devillers – Lui même
- 1976 : Chantons sous l'Occupation documentaire d’André Halimi
- 1981 : Chirico par Cocteau court métrage documentaire de Pascal Kané – Une participation
- 1982 : Ombre et secret court métrage de Philippe Delarbre
- 1985 : Parking de Jacques Demy – Hadès, le maître des enfers
- 1986 : Lien de parenté de Willy Rameau – Victor Blaise, vieux paysan
- 1992 : Les Enfants du naufrageur de Jérôme Foulon – Marc-Antoine, le vieil ermite de l'île
- 1994 : Les Misérables de Claude Lelouch – Monseigneur Myriel
- 1995 : Beauté volée (Stealing Beauty) de Bernardo Bertolucci – Mr Guillaume
- 1995 : Projection au Majestic court métrage d'Yves Kovacs
- 1999 : Luchino Visconti documentaire de Carlo Lizzani – Témoignage de J.Marais
- 1969 : Renaud et Armide de Marcel Cravenne d'après la pièce de Jean Cocteau – Le roi Renaud
- 1971 : Robert Macaire de Pierre Bureau d'après la pièce de Frédérick Lemaître – Robert Macaire
- 1973 : Joseph Balsamo d'André Hunebelle – Joseph Balsamo, alias Cagliostro (dans les 7 épisodes)
- 1973 : Karatekas and co feuilleton en 6 épisodes d'Edmond Tyborowski – L'Empereur, ancien agent diplomatique dans les épisodes suivants : La Couronne d'Attila, Le Club de l'eau plate, Mozart passe la mesure, La Nuit des parfaits, Deux millions de fusils, Quelque part en Méditerranée
- 1977 : Vaincre à Olympie de Michel Subiela – Ménesthée
- 1980 : Les Parents terribles de Yves-André Hubert d'après la pièce de Jean Cocteau – Georges
- 1982 : Cher menteur de Alexandre Tarta d'après la pièce de Jérôme Kilty
- 1983 : Du vent dans les branches de sassafras de Robert Valey d'après la pièce de René de Obaldia
- 1996 : Belmondo le magnifique – Documentaire – de Dominique Chammings – Témoignage de J.Marais
Théâtre
Comédien- 1937 : Œdipe-Roi de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre Antoine
- 1937 : Les Chevaliers de la table ronde de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre de l'Œuvre
- 1938 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, mise en scène Alice Cocéa, Théâtre des Ambassadeurs
- 1941 : La Machine à écrire de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre Hébertot
- 1944 : Andromaque de Racine, mise en scène Jean Marais, Théâtre Édouard VII
- 1946 : L'Aigle à deux têtes de Jean Cocteau, mise en scène Jacques Hébertot, Théâtre Hébertot
- 1950 : Chéri de Colette, mise en scène Jean Wall, Théâtre de la Madeleine
- 1952 : Britannicus de Racine, mise en scène Jean Marais, Comédie-Française
- 1952 : Mithridate de Racine, mise en scène Jean Yonnel, Comédie-Française
- 1953 : Britannicus de Racine, mise en scène Jean Marais, Comédie-Française
- 1954 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène de l'auteur, Théâtre des Bouffes-Parisiens, tournée Herbert
- 1955 : Pygmalion de George Bernard Shaw, mise en scène Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1957 : César et Cléopâtre de George Bernard Shaw, mise en scène Jean Le Poulain, Théâtre Sarah-Bernhardt
- 1958: Deux sur la balançoire de William Gibson, mise en scène Luchino Visconti, Théâtre des Ambassadeurs
- 1966 : Adorable Julia de Marc-Gilbert Sauvajon d’après Somerset Maugham, mise en scène Jean-Laurent Cochet, avec Madeleine Robinson
- 1967 : Adorable Julia de Marc-Gilbert Sauvajon d'après Somerset Maugham, mise en scène Jean-Laurent Cochet, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty-Herbert
- 1968 : Le Disciple du diable de George Bernard Shaw, adaptation Jean Cocteau, mise en scène Jean Marais, Théâtre de Paris
- 1970 : Cyrano de Bergerac de Edmond Rostand, mise en scène Jacques Hardouin, Théâtre des Célestins, tournée Karsenty-Herbert
- 1970 : L'Amour masqué de Sacha Guitry et André Messager, mise en scène Jean-Pierre Grenier, Théâtre du Palais-Royal
- 1973 : Tartuffe de Molière, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
- 1973 : Le Bossu de Paul Féval, mise en scène Jacques-Henri Duval, Théâtre des Célestins
- 1975 : Les Misérables de Paul Achard d'après Victor Hugo, mise en scène Jean Meyer, Théâtre de l'Agora Évry
- 1976 : Les Misérables de Paul Achard d'après Victor Hugo, mise en scène Jean Meyer, Théâtre des Célestins
- 1977 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, mise en scène Jean Marais, Théâtre Antoine
- 1978 : Cher menteur de Jérôme Kilty, avec Edwige Feuillère, Théâtre de l'Athénée
- 1978-1979 : Le Roi Lear de William Shakespeare, mise en scène Yves Gasc, Festival de Vaison-la-Romaine et Théâtre de l'Athénée2
- 1981 : Du vent dans les branches de Sassafras de René de Obaldia, mise en scène Jacques Rosny, Théâtre de la Madeleine
- 1982 : Du vent dans les branches de sassafras de René de Obaldia, mise en scène Jacques Rosny, Théâtre des Célestins
- 1983 : Cocteau-Marais de Jean Cocteau, mise en scène Jean Marais & Jean-Luc Tardieu, Théâtre de l'Atelier, Théâtre Renaud-Barrault, tournées Europe francophone, Allemagne, Italie, Canada, Japon
- 1985 : Le Cid de Corneille, mise en scène Francis Huster, Théâtre Renaud-Barrault
- 1986 : La Maison du lac d'Ernest Thompson, adaptation Pol Quentin, mise en scène Raymond Gérôme, avec Edwige Feuillère, Théâtre Montparnasse
- 1988 : Bacchus de Jean Cocteau, mise en scène Jean Marais, Théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1989 : Hernani de Victor Hugo, mise en scène Jean-Luc Tardieu, Maison de la Culture de Loire-Atlantique Nantes
- 1989 : La Machine infernale de Jean Cocteau, mise en scène Jean Marais, Festival d’Anjou, Espace Pierre Cardin
- 1993 : Les Monstres sacrés de Jean Cocteau, mise en scène Raymond Gérôme, Théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1995 : Les Chevaliers de la Table Ronde de Jean Cocteau, mise en scène Nicolas Briançon, Théâtre des Célestins
- 1997 : La Tempête de William Shakespeare, mise en scène Jean-Luc Revol
- 1997 : L'Arlésienne d'Alphonse Daudet, mise en scène Roger Louret
- 1944 : Andromaque de Racine, Théâtre Édouard VII
- 1952 : Britannicus de Racine, Comédie-Française
- 1955 : Pygmalion de George Bernard Shaw, Théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1957 : L'Apprenti fakir de Jean Marais, décors et costumes Jean Marais, chorégraphie et mise en scène Georges Reich, paroles Charles Aznavour, musique Jeff Davis, Théâtre de la Porte-Saint-Martin
- 1959 : Un rossignol chantait de Robert Lamoureux, mise en scène et décors, Théâtre des Variétés
- 1968 : Le Disciple du diable de George Bernard Shaw, adaptation Jean Cocteau, Théâtre de Paris
- 1977 : Les Parents terribles de Jean Cocteau, Théâtre Antoine
- 1983 : Cocteau-Marais de Jean Cocteau, mise en scène avec Jean-Luc Tardieu, Théâtre de l'Atelier, théâtre Renaud-Barrault, tournées Europe francophone, Allemagne, Italie, Canada, Japon
- 1988 : Bacchus de Jean Cocteau, Théâtre des Bouffes-Parisiens
- 1989 : La Machine infernale de Jean Cocteau, Festival d’Anjou, Espace Pierre Cardin
David et Goliath, Disque le petit ménestrel, 1968.
Sources: wikipedia.org
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