Lino Ventura
- Date de naissance:
- 14.07.1919
- Date de décès:
- 22.10.1987
- Nom de jeune fille de la personne de:
- Angiolino Giuseppe Pasquale Ventura
- Noms supplémentaires:
- Lino Ventura
- Catégories:
- Acteur
- Nationalité:
- italien
- Cimetière:
- Réglez cimetière
Lino Ventura de son nom vrai nom Angiolino Giuseppe Pasquale Ventura, est un acteur italien qui a vécu en France et y a réalisé l'ensemble de sa carrière cinématographique, né le 14 juillet 1919 à Parme (Italie) et décédé le 22 octobre 1987 à Saint-Cloud.
Fils d'immigrés italiens, Lino Ventura fut d'abord lutteur professionnel (il fut champion d'Europe poids moyens en 1950) avant de devenir par hasard acteur aux côtés de Jean Gabin dans Touchez pas au grisbi. D'abord habitué à des seconds rôles d'hommes de main ou de brutes, il devint une vedette dès la fin des années 50 grâce à des films comme Classe tous risques. Alternant lescomédies à succès, parfois dialoguées par Michel Audiard, telles Les Tontons flingueurs, Les Barbouzes, Ne nous fâchons pas,L'Aventure c'est l'aventure ou La Gifle, et des drames et polars comme Les Grandes gueules, Le Deuxième souffle, Le Clan des Siciliens, L'Armée des ombres ou Garde à vue, il fut pendant deux décennies l'un des acteurs les plus populaires du cinéma français.
Père d'une fille handicapée, il fut le fondateur en 1966 de l'association Perce-Neige, destinée à venir en aide aux personnes handicapées mentales.
Jeunesse
Lino Ventura est le fils de Giovanni Ventura et Luisa Borrini. En 1927, il est âgé de sept ans lorsqu'il quitte l'Italie avec sa mère pour rejoindre son père parti travailler comme représentant de commerce à Paris quelques années auparavant. Mais arrivés à Paris, la mère et le fils ne trouveront pas Giovanni. Par fidélité à ses origines, il a gardé sa nationalité italienne. Lino Ventura parlait le français sans aucun accent, ayant passé l'essentiel de sa vie en France, et s'exprimait en italien avec une pointe d'accent français. Pour aider sa mère à les faire vivre, il quitte l'école et commence à travailler dès l'âge de huit ans. Il exerce successivement divers métiers : groom, mécanicien, représentant de commerce et employé de bureau.
Lutteur
C'est néanmoins le sport qui l'emporte : il devient lutteur professionnel poids moyens sous le nom de Lino Borrini (qui fut plus tard, de manière erronée, considéré par certains comme son véritable nom). Il sera aussi catcheur.
En 1950, il est champion d'Europe poids moyens de lutte gréco-romaine, puis à la suite d'un accident : une grave blessure à la jambe droite au cours d'un combat contre Henri Cogan (qui deviendra également acteur), il est obligé d'arrêter. Passionné par son sport de lutte, il se reconvertit en organisateur de combats. Il est notamment un habitué de la Salle Wagram à Paris.
Carrière cinématographique
En 1953, tout à fait par hasard, un de ses amis parle de lui au réalisateur Jacques Becker qui cherchait un Italien pour jouer face à Jean Gabin dans son film Touchez pas au grisbi. La rencontre se fait et Jacques Becker lui propose illico le rôle d'Angelo, un chef de gang opposé aux personnages incarnés par Jean Gabin et René Dary, que Lino refuse dans un premier temps. Par provocation, alors qu'il ne joue qu'un second rôle, il demande un cachet d'un million d'anciens francs (cachet presque équivalent à la vedette du film Jean Gabin), proposition qui est acceptée à sa grande surprise.
À la sortie de Touchez pas au grisbi, sa présence est telle que toute la profession le remarque.
Il est immédiatement adopté par le milieu du cinéma, par Jean Gabin qui devient son grand ami et par le public grâce à sa carrure, sa « gueule » et son exceptionnel naturel de comédien qui font de lui l'interprète idéal du film noir, de truand et de policier dur à cuire au grand cœur.
Sans avoir pris de cours de comédie, il passe rapidement du statut d'acteur de complément aux premiers rôles, son jeu d'acteur s'affinant. C'est le rôle du Gorille (dans Le Gorille vous salue bien de Bernard Borderie) en 1958 qui le lance comme vedette à part entière. Suivi de Classe Tous Risques avec Claude Sautet, en 1960, qui lui fait partager la vedette avec Jean-Paul Belmondo. Un film qui marque sa rencontre avec un auteur de la Série Noire, José Giovanni. Il devient l'un des poids lourds du cinéma hexagonal et restera à tout jamais reconnu comme l'un des meilleurs acteurs du cinéma français. Il excelle dans les rôles traditionnels de truand ou de policier vieilli, fatigué, ou de l'homme d'expérience sensible à l'amitié virile. Son jeu d'acteur, d'ailleurs assez proche de sa propre nature, s'exprime pleinement sous la direction de Jacques Deray, de Jean-Pierre Melville ou de Robert Enrico, mais aussi chezJosé Giovanni où Lino joue dans Les Grandes Gueules, Le Deuxième Souffle et Les Aventuriers4.
Acteur fétiche de Georges Lautner, il est dans la distribution de deux classiques du cinéma français, Les Tontons flingueurs (1963) et Les Barbouzes(1964).
En 1972, il se fait connaître à l'international pour son rôle du mafieux (Vito Genovese) dans Cosa Nostra de Terence Young avec dans le rôle du repenti Joe Valachi, joué par Charles Bronson.
Dans le film La Chèvre, il devait tenir le rôle de Campana, mais comme le rôle de François Perrin devait alors être tenu par Jacques Villeret, Lino Ventura refusa d'y jouer.
À partir des années 1980, Lino Ventura a peu tourné comme si son personnage du film de Jacques Deray, Un papillon sur l'épaule, tourné en 1978, où il joue Roland Fériaud, cet homme de tous les jours manipulé par des forces maléfiques jusqu'à sa mort brutale, sur un trottoir étranger au milieu d'une foule indifférente, avait changé sa carrière. Ce type de personnage, une victime manipulée, il l'a évoqué lors d'un entretien pour décrire son rôle d'espion à la retraite dans Espion, lève-toi, tourné en 1981: « C'est un type qui, à un moment donné, se retrouve seul, abandonné par ses amis et par ses ennemis si je puis dire parce que dans un sens, tout le monde s'arrange sur son dos (...), ce sont des situations que j'affectionne particulièrement ». Victime aussi le général Dalla Chiesa dans Cent jours à Palerme qui tombe sous les balles de la mafia, à laquelle il avait osé s'attaquer.
Sur la fin de sa carrière, Lino ne choisit ses rôles qu'en fonction d'un critère qu'il résume lui-même : « J'aime ou j'aime pas ! ». Ses plus beaux rôles, il les a trouvé dans Garde à vue de Claude Miller en 1981, où il interprète l'inspecteur Gallien qui interroge un notable (Michel Serrault) présumé coupable d'assassinat, et surtout dans Les Misérables de Robert Hossein, sorti en 1982, où il incarne un Jean Valjean à la hauteur de ses prédécesseurs, Harry Baur et Jean Gabin.
Rôles manqués
Au sujet du choix de ses rôles, il déclare : « Quand on me parle d'un personnage à interpréter et d'une façon immédiate si je peux le faire, si ça me convient ou si ça ne va pas ». À cause de cela, il refuse un rôle dans Apocalypse Now de Francis Ford Coppola, le rôle tenu par François Truffaut dans Rencontre du troisième type de Steven Spielberg, et pour un remake de Le salaire de la peur appelé Le convoi de la peur (Wages of Fear) de William Friedkin
Tombe de Lino Ventura.
Décès
Il décède le 22 octobre 1987 à Saint-Cloud, d'une crise cardiaque à l'âge de 68 ans, après 34 ans de carrière cinématographique et 75 films. Il repose au cimetière du Val-Saint-Germain dans l'Essonne.
Vie privée
Le 8 janvier 1942, il épouse Odette Lecomte (décédée le 15 mai 20135), son amour de jeunesse, qu'il avait rencontrée en 1935 dans la banque où il travaillait. Ils auront quatre enfants : Mylène (1946-1998, morte dans un accident d'avion) épouse de Claude Lasserre, fils deRené Lasserre (1912-2006), Laurent en 1950, Linda en 1958 et Clelia en 1961 (auteur et scénariste).
Linda est trisomique ; découvrant le manque de structures d'aide et d’accueil pour les enfants handicapés, Lino et Odette créent en 1966l'association humanitaire Perce-Neige à Saint-Cloud, où il vivait, avec pour vocation « l'aide à l'enfance inadaptée » en apportant son aide aux associations existantes travaillant dans le domaine du handicap et en sensibilisant les pouvoirs publics aux besoins des enfants handicapés et de leurs familles.
L’année 1975 marque la première victoire de l’association avec la publication de la Loi d'orientation en faveur des personnes handicapées et de la Loi no 75-535 du 30 juin 1975 relative aux institutions sociales et médico-sociales.
En 1976, son association Perce-Neige est reconnue d'utilité publique. Six ans plus tard, la première Maison Perce-Neige ouvre ses portes à Sèvres (Hauts-de-Seine). Malgré la disparition de Lino Ventura, Perce-Neige poursuit sa mission et a participé à la création de près de 40 établissements en France.
Sa fille Clelia a écrit plusieurs ouvrages sur son père.
Carrière
Filmographie
Cinéma
- 1954 : Touchez pas au grisbi de Jacques Becker : Angelo, le chef de la bande rivale
- 1955 : Razzia sur la chnouf de Henri Decoin : Roger, Le Catalan
- 1956 : La Loi des rues de Ralph Habib : Mario
- 1956 : Crime et Châtiment de Georges Lampin : Le patron du bistrot
- 1957 : Le Feu aux poudres de Henri Decoin : L'inspecteur Legentil
- 1957 : Action immédiate de Maurice Labro : Bérès
- 1957 : Trois Jours à vivre de Gilles Grangier : Lino Ferrari, l'accusé à tort
- 1957 : Le rouge est mis de Gilles Grangier : Pépito, le truand au couteau
- 1957 : L'Étrange Monsieur Steve de Raymond Bailly : Denis
- 1957 : Maigret tend un piège de Jean Delannoy : L'inspecteur Torrence
- 1958 : Ces dames préfèrent le mambo de Bernard Borderie : Paulo
- 1958 : Ascenseur pour l'échafaud de Louis Malle : Le commissaire Cherrier
- 1958 : Montparnasse 19 de Jacques Becker : Morel
- 1958 : Le Gorille vous salue bien de Bernard Borderie : Géo Paquet, dit « Le Gorille », agent de la D.S.T
- 1958 : Sursis pour un vivant de Víctor Merenda : Borcher
- 1959 : Douze heures d'horloge de Geza Radvanyi : Fourbieux
- 1959 : Marie-Octobre de Julien Duvivier : Carlo Bernardi
- 1959 : 125, rue Montmartre de Gilles Grangier : Pascal, le vendeur de journaux
- 1959 : Un témoin dans la ville de Édouard Molinaro : Ancelin; l'assassin poursuivi
- 1959 : Le Chemin des écoliers de Michel Boisrond : Tiercelin, le restaurateur collaborateur
- 1959 : Le fauve est lâché de Maurice Labro : Paul Lamiani
- 1960 : Classe tous risques de Claude Sautet : Abel Davos
- 1960 : Les Mystères d'Angkor de William Dieterle : Biamonte
- 1961 : Un taxi pour Tobrouk de Denys de La Patellière : Théo Dumas
- 1961 : La Fille dans la vitrine de Luciano Emmer : Federico
- 1961 : Le Roi des truands de Duilio Coletti : Le truand
- 1961 : Le Bateau d'Émile de Denys de La Patellière: Emile Bouet, pêcheur
- 1961 : Les Lions sont lâchés de Henri Verneuil : Le Docteur Challenberg
- 1961 : Le Jugement dernier de Vittorio de Sica : Le père
- 1962 : Le Diable et les Dix Commandements de Julien Duvivier : Garigny, le proxénète
- 1962 : Les Petits Matins de Jacqueline Audry : Le chauffeur de bus
- 1962 : L'Opéra de quat'sous de Wolfgang Staudte : Tiger Brown
- 1963 : Les Tontons flingueurs de Georges Lautner : Fernand Naudin
- 1963 : Cent mille dollars au soleil de Henri Verneuil : Hervé Marec
- 1963 : Carmen 63 de Carmine Gallone : Vincenzo
- 1964 : Les Bandits (Llanto por un bandito) de Carlos Saura : El Lutos
- 1964 : Les Barbouzes de Georges Lautner : Francis Lagneau, un barbouze
- 1964 : Le Monocle rit jaune de Georges Lautner : Le client d'Elie (caméo)
- 1965 : L'Arme à gauche de Claude Sautet : Jacques Cournot
- 1965 : Les Grandes Gueules de Robert Enrico : Laurent, un repris de justice libéré
- 1965 : La Métamorphose des cloportes de Pierre Granier-Deferre : Alphonse
- 1966 : Avec la peau des autres de Jacques Deray : Pascal Fabre
- 1966 : Ne nous fâchons pas de Georges Lautner : Antoine Beretto
- 1966 : Le Deuxième Souffle de Jean-Pierre Melville : Gustave Minda, dit « Gu »
- 1967 : Les Aventuriers de Robert Enrico : Roland
- 1968 : Le Rapace de José Giovanni : Le Rital
- 1969 : Le Clan des Siciliens de Henri Verneuil : L'inspecteur Le Goff
- 1969 : L'Armée des ombres de Jean-Pierre Melville : Philippe Gerbier
- 1970 : Dernier domicile connu de José Giovanni : L'inspecteur Marceau Léonetti
- 1971 : Fantasia chez les ploucs de Gérard Pirès : Sagamore Noonan
- 1971 : Boulevard du rhum de Robert Enrico : Cornelius
- 1972 : Cosa Nostra de Terence Young : Vito Genovese
- 1972 : Le Silencieux de Claude Pinoteau : Clément Tibère
- 1972 : La Raison du plus fou de Raymond Devos et François Reichenbach : Le motard
- 1972 : L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch : Lino Massaro
- 1973 : La Bonne Année de Claude Lelouch : Simon
- 1973 : Far West de Jacques Brel : Le prisonnier
- 1973 : L'Emmerdeur de Édouard Molinaro : Milan, le tueur professionnel
- 1974 : Les Durs (Uomini Duri / Three tough guys) de Duccio Tessari : Le Père Charlie
- 1974 : La Gifle de Claude Pinoteau : Jean
- 1975 : Adieu poulet de Pierre Granier-Deferre : Le Commissaire Verjeat
- 1975 : La Cage de Pierre Granier-Deferre : Julien
- 1976 : Cadavres exquis (Cadaveri Eccellenti) de Francesco Rosi : L'Inspecteur Amerigo Rogas
- 1978 : Un papillon sur l'épaule de Jacques Deray : Roland Fériaud
- 1978 : La Grande Menace (The Medusa Touch) de Jack Gold : L'Inspecteur Brunel
- 1978 : L'Homme en colère de Claude Pinoteau : Romain Dupré
- 1980 : Les Séducteurs de Édouard Molinaro : François Quérole
- 1981 : Garde à vue de Claude Miller : L'inspecteur Antoine Gallien
- 1981 : Espion, lève-toi de Yves Boisset : Sébastien Grenier
- 1982 : Les Misérables de Robert Hossein : Jean Valjean, l'ancien forçat
- 1983 : Cent Jours à Palerme (Cento Giorni a Palermo) de Giuseppe Ferrara : Le général Carlo Dalla Chiesa
- 1983 : Le Ruffian de José Giovanni : Aldo Sévenac
- 1984 : La Septième Cible de Claude Pinoteau : Bastien Grimaldy
- 1987 : La Rumba de Roger Hanin : Le caïd du milieu (non crédité)
- 1987 : Maledetto ferragosto (Film inachevé)
- 1987 : La Jonque (Film inachevé)
Hommage
En 2003, la ville de Parme lui rend hommage en donnant son nom au centre du cinéma de la commune : Centro cinema Lino Ventura.
Télévision
- 1967 : Deux Romains en Gaule (Téléfilm)
- 1986 : L'Épée de Gédéon (Le onzième commandement) (Téléfilm) : Papa
Box-office
La liste indique seulement les films où Lino Ventura tient un rôle notable.
- 1954 : Touchez pas au grisbi : 4 713 585 entrées
- 1955 : Razzia sur la chnouf : 2 906 148 entrées
- 1957 : Le rouge est mis : 2 104 394 entrées
- 1958 : Ascenseur pour l'échafaud : 1 932 036 entrées
- 1958 : Trois jours à vivre : 1 014 097 entrées
- 1958 : Le Gorille vous salue bien : 2 809 135 entrées
- 1959 : Le Fauve est lâché : 2 532 076 entrées
- 1959 : Douze heures d'horloge : 996 421 entrées
- 1959 : Marie-Octobre : 2 598 091 entrées
- 1959 : Un témoin dans la ville : 1 442 314 entrées
- 1959 : 125, rue Montmartre : 1 689 674 entrées
- 1959 : Le Chemin des écoliers : 2 516 405 entrées
- 1960 : Classe tous risques : 1 725 662 entrées
- 1961 : Un taxi pour Tobrouk : 4 945 868 entrées
- 1961 : Les lions sont lâchés : 2 054 954 entrées
- 1962 : Le Bateau d'Émile : 1 528 552 entrées
- 1962 : Le Diable et les Dix Commandements : 1 848 021 entrées
- 1963 : Les Tontons flingueurs : 3 341 395 entrées
- 1964 : Cent mille dollars au soleil : 3 441 118 entrées
- 1964 : Les Barbouzes : 2 431 037 entrées
- 1965 : L'Arme à gauche : 1 170 134 entrées
- 1965 : La Métamorphose des cloportes : 905 484 entrées
- 1965 : Les Grandes gueules : 3 595 000 entrées
- 1966 : Ne nous fâchons pas : 1 877 412 entrées
- 1966 : Avec la peau des autres : 952 422 entrées
- 1966 : Le Deuxième souffle : 1 912 949 entrées
- 1967 : Les Aventuriers : 3 120 412 entrées
- 1968 : Le Rapace : 1 720 776 entrées
- 1969 : L'Armée des ombres : 1 401 822 entrées
- 1969 : Le Clan des Siciliens : 4 824 585 entrées
- 1970 : Dernier domicile connu : 2 241 305 entrées
- 1971 : Fantasia chez les ploucs : 1 409 528 entrées
- 1971 : Boulevard du Rhum : 1 279 586 entrées
- 1972 : L'Aventure, c'est l'aventure : 3 815 477 entrées
- 1972 : Cosa Nostra : 1 912 774 entrées
- 1973 : Le Silencieux : 1 324 969 entrées
- 1973 : La Bonne année : 1 373 322 entrées
- 1973 : L'Emmerdeur : 3 354 756 entrées
- 1974 : Les Durs : 536 207 entrées
- 1974 : La Gifle : 3 385 541 entrées
- 1975 : Adieu poulet : 1 945 659 entrées
- 1975 : La Cage : 200 000 entrées
- 1976 : Cadavres exquis : 1 025 592 entrées
- 1978 : Un papillon sur l'épaule : 553 617 entrées
- 1978 : La Grande Menace : 794 459 entrées
- 1979 : L'Homme en colère : 924 340 entrées
- 1981 : Garde à vue : 2 098 038 entrées
- 1982 : Espion, lève-toi : 1 302 777 entrées
- 1982 : Les Misérables : 3 828 029 entrée
- 1983 : Le Ruffian : 3 392 258 entrées
- 1984 : Cent jours à Palerme : 500 403 entrées
- 1984 : La Septième cible : 1 249 022 entrées
Œuvre humanitaire[
1966 : fondateur de l'association humanitaire « d'aide à l'enfance inadaptée » Perce-Neige.
Annexes
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- Lino Ventura, sur Wikimedia Commons
Article connexe
- Place Lino-Ventura
Bibliographie
- 1979 : Lino Ventura, Gilles Colpart - Éditions PAC - Monographie
- 1980 : Lino Ventura, Didier Vallée - Éditions Solar
- 1987 : Lino Ventura, Philippe Durant - Éditions Favre - Monographie
- 1992 : Lino, Odette Ventura - Éditions Robert Laffont - Biographie
- 2003 : Lino, tout simplement, Clelia Ventura (sa fille) - Éditions Robert Laffont - Souvenirs d'enfance et recettes de famille
- 2004 : Lino Ventura - Une leçon de vie, Clelia Ventura (sa fille) - Éditions Marque pages - Biographie
- 2007 : Signé : Lino Ventura, Clelia Ventura (sa fille) - Éditions Marque pages - Beau livre avec 20 objets facsimilés
- 2008 : Dictionnaire des comédiens français disparus, Yvan Foucart - Mormoiron : Éditions cinéma, 2008, 1185 p. (ISBN 978-2-9531-1390-7)
- 2010 : Les légendes du cinéma français, Lino Ventura, Bernard Boyé - Éditions Autres Temps - Album photos retraçant sa carrière cinématographique
- 2012 : Lino Ventura, Carnet de Voyages, Clelia Ventura (sa fille) - Éditions Barnea Productions -
Sources: wikipedia.org
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