Joachim Von Ribbentrop
- Date de naissance:
- 30.04.1893
- Date de décès:
- 16.10.1946
- Noms supplémentaires:
- Joachim Von Ribbentrov, Joachim Von Ribbentrop, Joahims fon Ribentrops, Ulrihs Firdrihs Vilhelms fon Ribentrops, Ульрих Фридрих Вильхельм Иоа́хим фон Ри́ббентроп, , Ulrich Friedrich Wilhelm Joachim von Ribbentrop
- Catégories:
- Criminel de guerre, Diplomate, Membre du gouvernement, Ministre, Participant de la seconde guerre mondiale, Soldat
- Nationalité:
- allemand
- Cimetière:
- Réglez cimetière
Joachim von Ribbentrop (30 avril 1893 à Wesel, en Allemagne – 16 octobre 1946 à Nuremberg, en Allemagne) fut ambassadeur du Troisième Reich de 1936 à 1938 à Londres, puis ministre des Affaires étrangères du 4 février 1938 au 30 avril 1945. Il a été condamné à mort lors du procès de Nuremberg en 1946 pour les quatre chefs d'inculpation suivants : plan concerté ou complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crime contre l'humanité.
Jeunesse et débuts
Suivant les affectations de son père, un officier de carrière, le jeune von Ribbentrop passe quatre années à Metz1, qui était alors la première place forte de l'Empire allemand2. Il quitte la ville en 1908, lorsque son père est dégradé pour avoir critiqué le Kaiser Guillaume II. S’ensuit alors une vie errante, entre l’Allemagne, la France, puis le Canada en 1910.
Au Canada anglais, il devient trilingue (allemand, anglais, français), ce qui favorisera sa carrière diplomatique et politique après 1933. Arrivé à Montréal en 1910, Ribbentrop travaille notamment à la construction du fameux pont de Québec, comme « manœuvre affecté aux différentes tâches » en 1912. Ensuite, Joachim von Ribbentrop exerce divers métiers dont celui d'importateur de vins, champagnes et spiritueux. Lorsque la Première Guerre mondiale est déclenchée, en août 1914, il rentre immédiatement en Allemagne en passant par la Hollande et s'engage comme soldat. Il est blessé en 1917.
Joachim von Ribbentrop épouse ensuite Anna Elisabeth Henkell (m. 1920), fille de Otto Henkell. Il devient représentant en vin de champagne pour Pommery, puis rejoint le NSDAP en 1932, où ses liens avec le milieu politique traditionnel sont appréciés. Ribbentrop est nommé l'année suivante Standartenführer-SS. Il est alors l'ami de Heinrich Himmler, mais leur relation se détériore, quand ce dernier tente d'avoir son propre service diplomatique.
Diplomate
En janvier 1933, Ribbentrop organise à son domicile des négociations pour la nomination d'Adolf Hitler comme chancelier ; s'y retrouvent Hitler, Franz von Papen, le chancelier démissionnaire, et Oskar von Hindenburg, le fils du président Hindenburg. En 1935, Ribbentrop devient ministre sans portefeuille et conseiller officieux de Hitler pour les affaires étrangères, parce qu'il parlait couramment le français et l'anglais et qu'il se prévalait de connexions internationales. Il accroît son influence en prenant systématiquement le parti le plus extrême, le seul que voulait entendre Hitler, ce qui revient à marginaliser le ministre des Affaires étrangères en titre, Konstantin von Neurath. Ce dernier, pour tenter de le discréditer, interdit aux services de son ministère de corriger les fréquentes fautes de syntaxe de son rival, dans ses notes adressées à Hitler, en vain. En juin 1935, il négocie, sur un coup de bluff, un accord naval germano-britannique permettant au Troisième Reich d’accroître sensiblement sa flotte : pour cela, il affirma à John Simon, secrétaire au Foreign Office, que si les propositions allemandes n'étaient pas acceptées dans leur intégralité, il repartait immédiatement. Il permit ainsi à la Kriegsmarine d'atteindre 35 % du tonnage de la Royal Navy en navires de surface et 45 % pour les sous-marins. Il devint à ce moment le spécialiste du Parti nazi pour la diplomatie et augmenta son influence sur Hitler.
D'abord ambassadeur à Londres en 1936, il y laisse une réputation d'incompétence totale[réf. souhaitée] ; il pensait, à tort, que le roi Édouard VIII, réputé pro-allemand, dirigerait la politique étrangère britannique et vit dans son abdication un complot « judéo-maçonnique ». Il montrait ainsi une méconnaissance marquée du système constitutionnel du Royaume-Uni. Les quelques contacts établis avec des membres de la Chambre des Lords, notamment Lord Lothian, Lord Cecil ou Lord Londonderry, lui firent croire que l'opinion britannique souhaitait une alliance avec l'Allemagne, ce qui était faux : Sir Robert Vansittart, secrétaire permanent du Foreign Office diplomate professionnel et très antinazi, écrivit des mots très durs contre ces Lords qu'il qualifiait d’« amateurs ambulants ».
Il devient cependant ministre des Affaires étrangères en 1938 à la place de Neurath, dont les prises de positions contre la marche à la guerre exaspèrent Hitler. En effet, le chancelier pensait que les contacts qu'il avait établis à Londres lui permettraient d'amadouer la Grande-Bretagne [réf. souhaitée].
Il prépare aussi le terrain diplomatique de l’annexion des Sudètes en traduisant les menaces d'Hitler en termes euphémiques et joue un rôle essentiel dans le rapprochement entre Hitler et Mussolini qui aboutit au Pacte d'Acier signé le 22 mai 1939.
À la veille de la Seconde Guerre mondiale, il est l'artisan, avec Viatcheslav Molotov, du Pacte germano-soviétique (de non-agression) signé le 23 août 1939 qui aboutit notamment à la fin de l'année 1939 à la partition de la Pologne entre les deux puissances.
Il est régulièrement critiqué par Goebbels, qui lui reproche de « n'être venu au parti que sur le tard et en quelque sorte par hasard. Son aristocratie aux origines douteuses, le snobisme voyant qui lui avait valu le sobriquet de « Ribbensnob », de même que sa distinction forcée et son attitude hautaine, provoquaient les moqueries des anciens membres du parti ».
Au cours de l'automne 1940, alors que la Seconde Guerre mondiale se déroule, il monte le « complot Windsor » pour s'emparer de l'ex-roi Édouard VIII et le remettre sur son trône pour amener la Grande-Bretagne à la paix. Winston Churchill sent néanmoins le danger suffisant pour envoyer le duc de Windsor aux Bahamas comme gouverneur.
Ribbentrop ne pousse pas au déclenchement de la guerre contre l'URSS en 1941, mais ne fait rien pour l'empêcher par servilité vis-à-vis d'Hitler. Selon l'historien Anthony Beevor, juste après avoir remis la déclaration de guerre à l'ambassadeur soviétique Dekanozov, il lui souffle : « Vous ferez savoir à Moscou que j'étais contre cette guerre ».
Perte d'influenceAu fur et à mesure que la guerre se poursuit, l'influence de Ribbentrop diminue d'autant plus qu'Hitler ne s'embarrasse plus de précautions diplomatiques. De plus, la plupart des personnes qu'il nomme dans les ambassades sont incompétentes. Hitler le marginalise, mais le maintient dans son entourage où il est fréquemment moqué. Ribbentrop aménage un train qui suit tout le temps Hitler dans ses déplacements, pour se montrer avec lui. Cette marginalisation est aussi liée au fait qu'il s'est montré un piètre ministre dans la période 1939-1941, que chacune de ses initiative ou prédiction a tourné au désastre, et que, dans les faits, son domaine de compétence, les relations extérieures, sont très clairement reléguées à l'arrière plan de la politique allemande durant le conflit.
De plus, en 1944, la population du Reich le méprise souverainement pour sa politique qui n'a pas su éviter la guerre. Dans le même temps, par opposition à d'autres dirigeants, qui se réfugient dans le travail bureaucratique, comme Bormann, ou dans l'alcool, comme Ley, il s’occupe à travailler sur une analyse tronquée des rapports de force internationaux, affirmant en janvier 1945 à l'ambassadeur japonais que le Reich et le Japon seraient sauvés, s’ils parvenaient à tenir jusqu'à la fin de l'année 1945.
À partir du début de l'année 1945, il tente de négocier une paix séparée : au mois de mars, il convoque à Berlin Werner Dankwort, diplomate en poste à Stockholm, pour lui expliquer le sens des négociations de paix qu'il mène : celles-ci sont destinées à donner au Reich le temps nécessaire pour finaliser les nouveaux armements, puisque les alliés occidentaux continuaient à rester fidèles à l'alliance de 1941 ; mais cette tentative tourne court, en raison du refus de Hitler à toute négociation et sa propre répugnance à braver ouvertement le dictateur.
Il est complètement exclu du complot du 20 juillet 1944 contre Adolf Hitler, pourtant mené par la classe sociale à laquelle il cherchait à s'identifier.
Tout au long de la guerre, et surtout en son début, a lieu par exemple un violent antagonisme réciproque entre Ribbentrop et le Dr Joseph Goebbels ainsi qu'entre leurs ministères respectifs ; en effet, à de nombreuses reprises durant le conflit ce dernier préconise le renvoi du ministre des Affaires étrangères, considéré comme un « raté ».
Il est démis de ses fonctions lors de la constitution du cabinet Goebbels, le 30 avril 1945 et remplacé par Arthur Seyss-Inquart. Démissionné malgré son souhait, il souhaite cependant continuer à jouer un rôle dans le gouvernement qui se met en place dans le Nord du Reich, et définit, dans un courrier non envoyé à Dönitz, comment il voit le futur du continent européen
Au moment de son arrestation, il adresse une lettre à « Mr. Vincent (sic) Churchill » pour le mettre en garde contre le risque de voir le bolchevisme se répandre en Europe.
Jugement et exécution
Procès de Nuremberg ; Ribbentrop est assis à l'avant en deuxième position en partant de la droite.Lors du procès de Nuremberg, il nie toute responsabilité au sujet des camps de concentration. Cependant, il aurait poussé, en septembre 1942, les diplomates allemands en poste dans les pays occupés à accélérer les déportations de Juifs. Ribbentrop se serait plaint auprès des Italiens des lenteurs dans la déportation des Juifs de la zone d'occupation italienne en France. Les diplomates ont joué un rôle important dans l'organisation de la déportation, négociée, comme en France avec le régime de Vichy en juin 1942, lorsque le représentant allemand auprès du régime de Vichy exige de Pierre Laval la déportation de 50 000 Juifs. D'autre part, il fut prouvé pendant le procès qu'il s'empara des biens de certaines personnes dont il avait ordonné la déportation.
Au cours du procès, c'est le procureur français Edgar Faure qui mène le contre-interrogatoire : il lit à l'accusé un extrait d'une lettre de l'ambassade d'Allemagne du 27 juin 1942, adressée au chef de la Sipo en France.
Fiche de détention de Ribbentrop après son arrestation par des soldats américains.« Le Hauptsturmführer Dannecker m'a indiqué qu’il avait besoin au plus tôt de 50 000 Juifs de la zone libre pour être déportés vers l'Est, et qu'il convenait de soutenir l'action de Darquier de Pellepoix, commissaire général aux Questions juives. »
À gauche, Ribbentrop durant le procès de Nuremberg.Dans sa réponse, Ribbentrop s'embrouille et se laisse piéger par Edgar Faure. Il commence par nier avoir eu connaissance du travail de ses propres services, avant d'essayer de dire qu'il a tenté de temporiser, ce qui indique qu'il connaissait parfaitement la situation.
En avril 1943, Ribbentrop participe aussi à une conférence entre Hitler et le Hongrois Miklós Horthy durant laquelle ce dernier est informé que les Juifs devaient être exterminés ou envoyés en camps de concentration[réf. nécessaire].
Ribbentrop après son exécution.Il est condamné à mort lors du procès de Nuremberg en 1946 pour plan concerté ou complot, crimes contre la paix, crimes de guerre et crime contre l'humanité. Il est le premier des condamnés à être exécuté par pendaison dans la nuit du 16 octobre 1946 à 1 h 01.
Ses dernières paroles sur l'échafaud : « Que Dieu protège l'Allemagne. Sur le point de mourir, j'exprime l'espoir qu'elle pourra conserver son unité, et que l'Ouest et l'Est arriveront à s'entendre sur ce point. »
L'exécution est mal préparée par le bourreau en chef de l’US Army, le sergent John C. Woods : « Ribbentrop, qui est le premier à monter sur l'échafaud, met 17 minutes à mourir. Des commentateurs malveillants diront qu'il aura tout manqué, même sa mort ! »
Sources: news.lv, barikadopedija.lv, wikipedia.org
Titre | De | À | Images | Langues | |
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Wewelsburg | de, lv, ru | ||||
Schloss Fuschl | de, en, lv |
Nom | Lien | Description | ||
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1 | Wallis Simpson | Partenaire | ||
2 | Édouard VIII | Ami | ||
3 | Konstantin von Neurath | Collègue | ||
4 | Vsevolod Merkoulov | Familier | ||
5 | Анте Павелич | Familier | ||
6 | Mohammed Amin al-Husseini | Familier | ||
7 | Arthur Neville Chamberlain | Familier | ||
8 | Philippe Pétain | Familier | ||
9 | Lady Nancy Astor | Familier | ||
10 | David Kandelaki | Familier | ||
11 | Karl Selter | Familier | ||
12 | Martin Luther | Employé | ||
13 | Andor Hencke | Employé | ||
14 | Adolf Hitler | De même opinion | ||
15 | Joseph Staline | De même opinion, Coupable | ||
16 | Viatcheslav Molotov | De même opinion | ||
17 | Heinrich Himmler | De même opinion |
29.10.1929 | Black Monday, a day in the Wall Street
Black Monday, a day in the Wall Street Crash of 1929, which also saw major stock market upheaval.
30.01.1933 | Adolf Hitler est nommé chancelier du Reich par le président Paul von Hindenburg
12.09.1934 | Baltic Entente
24.10.1938 | Podczas spotkania w Berlinie ministrów spraw zagraicznych Józefa Becka i Joachima von Ribbentropa, strona niemiecka pierwszy raz poruszyła kwestię włączenia Wolnego Miasta Gdańska do Rzeszy i budowy eksterytorialnej autostrady oraz linii kolejowej przez polskie Pomorze
07.06.1939 | Neuzbrukšanas līgums starp Latviju un Vāciju
23.08.1939 | Tiek parakstīts Eiropas "kreiso"- nacionālsociālistu un komunistu pakts ar tā slepenajiem pielikumiem par Eiropas pārdali
Tiek parakstīts Nacistu—Komunistu pakts
01.09.1939 | Invasion of Poland
The Invasion of Poland, also known as the September Campaign or 1939 Defensive War (Polish: Kampania wrześniowa or Wojna obronna 1939 roku) in Poland and the Poland Campaign (German: Polenfeldzug) or Fall Weiß (Case White) in Germany, was an invasion of Poland by Germany, the Soviet Union, and a small Slovak contingent that marked the beginning of World War II in Europe. The German invasion began on 1 September 1939, one week after the signing of the Molotov–Ribbentrop Pact, while the Soviet invasion commenced on 17 September following the Molotov-Tōgō agreement which terminated the Russian and Japanese hostilities (Nomonhan incident) in the east on 16 September. The campaign ended on 6 October with Germany and the Soviet Union dividing and annexing the whole of Poland.
17.09.1939 | Otrais Pasaules karš. Nepilnu mēnesi pēc nacionālsociālistu-komunistu līguma noslēgšanas Vācijas sabiedrotais- PSRS - iebrūk Polijā
Otrais pasaules karš bija lielākais bruņotais konflikts cilvēces vēsturē, un tajā iesaistījās lielākā daļa pasaules valstu visos kontinentos. Karu uzsāka divu sabiedroto- Vācijas un PSRS saskaņots uzbrukums Polijai. Karš notika no 1939. gada 1. septembra līdz 1945. gada 14. septembrim un prasīja 70 miljonus civiliedzīvotāju un militārpersonu dzīvību. Kara rezultātā tika mainītas pasaules valstu robežas un okupētas daudzas teritorijas līdz pat 1991. gadam. Daļa no teritorijām, kā Prūsija, Piedņestra, Abhāzija, Tiva, Kuriļu salas, Karēlija ir Krievijas okupētas joprojām.
22.09.1939 | Soviet - Nazi German Military Parade At Brest-Litovsk
28.09.1939 | German–Soviet Treaty of Friendship, Cooperation and Demarcation
The German–Soviet Treaty of Friendship, Cooperation and Demarcation (also known as the German–Soviet Boundary and Friendship Treaty) was a treaty signed by Nazi Germany and the Soviet Union on September 28, 1939 after their joint invasion and occupation of Poland. It was signed by Joachim von Ribbentrop and Vyacheslav Molotov, the foreign ministers of Germany and the Soviet Union respectively. The treaty was a follow up to the Molotov–Ribbentrop Pact, which the two countries had signed on August 23, prior to their invasion of Poland and the start of World War II in Europe. Only a small portion of the treaty was publicly announced.
01.10.1939 | 1.10.1939 sabiedrotie- Vācija un PSRS notur kopīgas militārās parādes iekarotās Polijas pilsētās Ļvovā, Grodņā, Pinskā
Viena no pirmajām militārajām parādēm tika noturēta 1939.g. 22. septembrī abiem iekarotājiem satiekoties Brestā. Vēlāk, pēc Polijas pilnīgas iekarošanas abi sabiedrotie- PSRS un Vācija šo draudzību apliecinošo tradīciju praktizēja plašāk.
18.10.1939 | Spotkanie Stalina i Hitlera we Lwowie
24.10.1939 | PSRS un Vācija paraksta līgumu par naftas produktu un graudu piegādēm Vācijai
26.11.1939 | Shelling of Mainila
30.11.1939 | Winter War
25.12.1939 | 2. Pasaules kara aizsācēju- Vācijas sociālistu un PSRS komunisti savstarpējie apsveikumi
07.01.1940 | Winter War: The Finnish 9th Division stops and completely destroys the overwhelming Soviet forces on the Raate-Suomussalmi road
10.02.1940 | Deportation of Poles from Soviet occupied Polish territories
On 10th February 1940 the machinery of terror and national genocide started in territories of Poland, occupied by Soviet Union
26.06.1940 | USSR sends an ultimatum to Romania demanding that it cede the lands promised to Stalin under the Nazi-Soviet Pact
07.09.1940 | Blitz. Krievu komunistu materiāli nodrošināta, Vācijas sociālistu armija sāk Londonas bombardēšanu. Bombardēšana turpinās 57 naktis bez pārtraukuma
1940. gada 7. septembris Londonā bija silta, saulaina sestdienas pēcpusdiena. LaI gan bija pagājis gandrīz gads, kopš 23.08.1939 Vācija un PSRS bija noslēgušas līgumu par Eiropas pārdali un abas Pasaules karas uzsācējas jau gadu karoja Polijā, Somijā, Anglijā nekas neliecināja par karu. Taču Vācija bija sagatavojusi vienu no lielākajiem gaisa uzbrukumiem "Anglijas sirdij"- Londonai. Bombardēšana 7. septembrī ilga 9 stundas.
12.11.1940 | German–Soviet Axis talks
13.11.1940 | V. Molotova vizīte Berlīnē pie sabiedrotā Ā. Hitlera
Vizīte notika 12.-13. novembrī